mercredi 19 mai 2010

WISE MECA TEST

Quand ArcelorMittal
sous-traite ses activités labo
Suite à une mise en demeuredes avocats de cette société, nous avons retiré de ce tract les mots qui pourraient porter atteinte à la personne de Mr PASANELLO, ne sont retranscrits dans ce tract que les faits
Le 31 juin 2009, la Direction de Florange décide de sous-traiter son activité des essais physiques du laboratoire au Train à Froid. Le repreneur n’est autre que PASANNELLO (ancien responsable du labo et salariés AM).

Evidemment, toutes les promesses, y compris les plus farfelues, sont faites au personnel qui se laisse « séduire » sous la pression. Il fallait bien embellir la mariée.
Pourtant, très vite, les salariés se rendent compte de la supercherie. Une prime d’arrivée !

Dès le 1er août, et pour souhaiter la bienvenue dans la nouvelle société (Wise Meca Test), le nouveau « boss » Pasannello leur impose 15 jours de congés sans solde comme cadeau de bienvenue, il existe beaucoup mieux. Le ton est donné. S’en suit 10 longs mois de pression, de menace, de harcèlement, de mesquinerie, de salaire payé en retard, de brimades et de licenciements sans motif réel et sérieux.

Le travail fait à l’époque par AM par 3 salariés est exigé par un seul salarié de wise Meca Test. Le citron n’était pas encore assez pressé, après le jus, Pasannello exige aussi les pépins. Et des pépins, le personnel n’a jamais fini d’en avoir.
L’organisation du travail (ou plutôt la désorganisation la plus totale) change comme le temps…en Lorraine. Personne ne peut prévoir un repos, un congé ou un rendez-vous chez le médecin.

Revendication
Face à cette situation dramatique pour le personnel, il n’y a qu’une seule et unique revendication : ArceloMittal doit reprendre l’activité du laboratoire avec son personnel. Le groupe est co-responsable du cauchemar vécu par les salariés, c’était leur choix et leur décision unilatérale.

Les responsables de Florange ne peuvent se comporter comme Ponce Pilate. Si ArcelorMittal Florange n’agit pas, la CFDT portera plainte pour non assistance à personnel en danger. Ils ne peuvent plus dire qu’ils ne savent pas !

La pire situation serait d’en arriver à une issue dramatique comme celle de France Télécom. Car nous en sommes là !

Dans cette pitoyable affaire, chacun devra assumer ses responsabilités, toutes ses responsabilités !

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